«[…] Hachoirs, Poussoirs,                Trancheurs déroule des taxinomies parisiennes, élégamment                disposées, comme elles le seraient en territoire Atget. Cette                œuvre, de plus de six mètres de long, est la bobine                en séquence retouchée et teintée selon les                caractéristiques propres aux trente images d’enseignes                commerciales ou municipales prises à travers Paris. Cet assez                austère rythme processionnel peut bien évoquer L’Année                dernière à Marienbad. Et les délicates cadences                de Lennard, son intimisme réservé, l’air ineffablement                caustique de sa sophistication conspirent à suggérer                une féminité cryptique, une qualité que retrouve                parfois la prose sèche mais sauvage de Duras. […]
Quand Lennard dit « Merci les Parisiennes », on a le sentiment d’une ironie à la française, pourtant, c’est bien ce qu’elle veut dire. Et tandis qu’elle présente ces images de « Paris Signes », elle les arrache à leur destin d’esclavage théorique et les rend aux routines de la vie de tous lesjours.» Lisa Liebman
Quand Lennard dit « Merci les Parisiennes », on a le sentiment d’une ironie à la française, pourtant, c’est bien ce qu’elle veut dire. Et tandis qu’elle présente ces images de « Paris Signes », elle les arrache à leur destin d’esclavage théorique et les rend aux routines de la vie de tous lesjours.» Lisa Liebman


