Anita Conti et la Bretagne

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Anita Conti et la Bretagne

Ecrivaine, relieuse d’art, photographe et première femme océanographe, elle s’impose dans l’univers très masculin de la pêche. Elle participe en 1935 à diverses campagnes sur le premier navire océanographique français puis, avant la seconde guerre mondiale, sur un chalutier-morutier en campagne en mer de Barents et au Spitzberg durant 100 jours. Ses missions lui permettent de publier des rapports et des articles illustrés par ses photographies prises avec son appareil Rolleiflex ; elle ne manque pas de dénoncer la surexploitation des océans. Durant la guerre, elle obtient l’autorisation d’embarquer en tant que photographe de la Marine sur des dragueurs de mines en Manche et en mer du Nord, photographiant les tentatives de déminage. Durant les années de la France occupée, Anita Conti contribue à améliorer les conditions de pêche sur les côtes de l’Ouest africain ; au Sénégal, elle implante des stations de séchage de poissons et crée en Guinée une pêcherie de requins. Anita Conti s’est fait accepter et respecter par les marins pêcheurs et les marins de la Royale qu’elle photographie comme un reporter, avec des points de vue audacieux : plongées et contreplongées qui nous font vivre de l’intérieur la pêche en haute mer. En 1952 elle embarque pour plusieurs mois sur le chalutier Bois Rosé en campagne sur les bancs de Terre-Neuve, au large du Canada.

Co-production
Patrimoine - Lorient
Parution
05/07/2021
Collection
Hors Collection
Format
170 x 240
Français
Broché
129 photographies en couleurs et bichromie
144 pages
ISBN : 978-2-35046-540-1
Commander
Paru dans la presse

Anita Conti

Photographe

Ecrivaine, relieuse d’art, photographe et première femme océanographe, elle s’impose dans l’univers très masculin de la pêche. Elle participe en 1935 à diverses campagnes sur le premier navire océanographique français puis, avant la seconde guerre mondiale, sur un chalutier-morutier en campagne en mer de Barents et au Spitzberg durant 100 jours. Ses missions lui permettent de publier des rapports et des articles illustrés par ses photographies prises avec son appareil Rolleiflex ; elle ne manque pas de dénoncer la surexploitation des océans. Durant la guerre, elle obtient l’autorisation d’embarquer en tant que photographe de la Marine sur des dragueurs de mines en Manche et en mer du Nord, photographiant les tentatives de déminage. Durant les années de la France occupée, Anita Conti contribue à améliorer les conditions de pêche sur les côtes de l’Ouest africain ; au Sénégal, elle implante des stations de séchage de poissons et crée en Guinée une pêcherie de requins. Anita Conti s’est fait accepter et respecter par les marins pêcheurs et les marins de la Royale qu’elle photographie comme un reporter, avec des points de vue audacieux : plongées et contreplongées qui nous font vivre de l’intérieur la pêche en haute mer. En 1952 elle embarque pour plusieurs mois sur le chalutier Bois Rosé en campagne sur les bancs de Terre-Neuve, au large du Canada.

Laurent Girault-Conti plasticien est né en 1956 à Boulogne-Billancourt. Après des études d’Arts appliqués, il a navigué librement, de l’illustration à la photo, de la peinture à l’écriture ; il n’impose pas de frontières à sa créativité, au gré des rencontres, des méandres de la vie. À sa façon, avec ou sans introspection, il en explore toutes les couleurs, entre le clair et l’obscur, l’ici et l’ailleurs.
Fils adoptif de l’écrivaine-voyageuse et photographe Anita Conti, il s’attache à faire connaître son œuvre au plus grand nombre. C’est dans cette esprit qu’il a mis en forme et publié Le Carnet Viking, récit jusqu’ici inédit des 70 jours passés par Anita Conti à bord du morutier Viking.