24 septembre 2010
L’Artothèque de Caen
Hommage à Bernard Lamarche-Vadel II
UN HOMMAGE À BERNARD LAMARCHE-VADEL
Programmation d’expositions et de rencontres consacrées à Bernard Lamarche-Vadel (1949 – 2000),critique d’art, poète, essayiste, romancier (lauréat du prix Goncourt du premier roman en 1994),conseiller artistique de l’artothèque de Vitré de 1989 à 2000.
Les archives de Bernard Lamarche-Vadel sont conservées par l’IMEC
GALERIE MICHÈLE CHOMETTE – PARIS
Unique – Du 15.09 au 30.10.2010
GALERIE DE L’ARTOTHÈQUE – GRENOBLE
Jean-Michel Alberola, estampes 2005-2010 – Du 20.09 au 30.10.2010
GALERIE DE L’ARTOTHÈQUE – CAEN
Quelques-uns d’entre nous – Du 24.09 au 06.11.2010
GALERIE DE L’ARTOTHÈQUE – ANNECY
La figuration libre – Du 05.10 au 20.11.2010
GALERIE LE LIEU – LORIENT
L’atelier photographique français – Du 08.10 au 05.12.2010
ÉCOLE SUPÉRIEURE D’ART – QUIMPER
Une situation – Du 14.10 au 03.12.2010
GALERIE DE L’IMAGERIE – LANNION
Conversations entre oeuvres – Du 16.10 au 27.11.2010
GALERIE LE CARRÉ D’ART – CHARTRES DE BRETAGNE
Vitré (1992) : Une commande, un livre – Du 21.10 au 27.11.2010
GALERIE DE L’ARTOTHÈQUE – VITRÉ
Au-delà d’un visage, un portrait de B.L.V. – Du 23.10 au 19.12.2010
CENTRE ATLANTIQUE DE LA PHOTOGRAPHIE – BREST
Bovary, Magdi Senadji / La visite, Nicolas Comment – Du 05.11 au 22.12.2010
11 septembre 2010
Galerie Michèle Chomette - Paris
Hommage à Bernard Lamarche-Vadel I
C’est la pensée visuelle de BLV sur la photographie, l’empreinte de sa personnalité, et réciproquement l’attachement entretenu à sa mémoire, que cgacun des artistes invités aura à mettre en évidence, et ce, qu’il s’agisse de fond ou de formes, en une seule œuvre conçue expressément pour l’exposition, à la fois dédiée à BLV et emblématique de BLV, donc par définition unique, à l’image de ce qu’il fut pour chacun d’entre nous.
3 septembre 2010
Galerie Les filles du calvaire, Paris
Thibaut Cuisset – Une campagne photographique
L’exposition est une création du Pôle Image Haute-Normandie suite à une résidence d’artiste de Thibaut Cuisset en 2006 sur le thème du paysage rural. Cette résidence à l’initiative du Pôle Image Haute-Normandie a bénéficié de l’aide la DRAC Haute-Normandie.

www.poleimagehn.com/exposition

20 mai 2010
MK2 quai de Loire, Paris
Suite parlée :: Projection du film au MK2
Les fiches du cinéma – Roland Hélié
“ En sismographe méthodique et précis, la caméra enregistre le vacillement du regard, le dessèchement de la gorge, les minuscules convulsions de la voix.  Et, comme si quelqu’un, quelque part, se faisait un sang d’encre – nous ? –  en prenant la mesure de ce qui vient d’être énoncé, un noir de quelques secondes sépare chaque confession de la suivante. C’est tout ? Oui c’est tout. Nous voici entré de plain-pied dans la matière humaine, cette pâte où la moindre brise, le plus modeste des courants d’air vient imprimer des abîmes et creuser des gouffres. Il reste à noter enfin que, dans un entêtement admirable, Joël Brisse et Marie Vermillard font – contre vents et marées – du cinéma comme ils l’entendent… un cinéma fait du regard tout à la fois curieux, émerveillé, interrogatif et inquiet qu’ils posent chaque jour sur le monde.
 
Ouvrage co-édité avec Come-and-See
20 mars 2010
Cinéma Reflet Médicis
Suite parlée :: Projection du film
Le Monde – Jean-Luc Douin
"C’est en abandonnant tout préjugé contre le caractère expérimental et minimaliste du projet, contre son apparente absence de cohérence dramaturgique, que l’on en découvre la richesse. Au fil de ces confidences que les comédiens distillent avec un tel naturel que l’on peut se demander s’il ne s’agit pas d’un souvenir intime (documentaire ou fiction ?), le concept de Joël Brisse et Marie Vermillard s’impose comme un recueil de nouvelles dont le trait d’union serait le trouble, et l’impact émotionnel qu’il produit chez le spectateur. Les histoires de traumas plus ou moins douloureux que raconte Joël Brisse rejoignent un terreau collectif, traduisent une expérience humaine suffisamment partagée, pour que personne ne soit indifférent à ce qui n’apparaîtrait qu’à tort comme des anecdotes personnelles. Il y a quelque chose dans ces souvenirs imaginaires qui touche un point sensible en nous, évoque une expérience analogue, suscite une complicité."

Les fiches du cinéma – Roland Hélié
“ En sismographe méthodique et précis, la caméra enregistre le vacillement du regard, le dessèchement de la gorge, les minuscules convulsions de la voix.  Et, comme si quelqu’un, quelque part, se faisait un sang d’encre – nous ? –  en prenant la mesure de ce qui vient d’être énoncé, un noir de quelques secondes sépare chaque confession de la suivante. C’est tout ? Oui c’est tout. Nous voici entré de plain-pied dans la matière humaine, cette pâte où la moindre brise, le plus modeste des courants d’air vient imprimer des abîmes et creuser des gouffres. Il reste à noter enfin que, dans un entêtement admirable, Joël Brisse et Marie Vermillard font – contre vents et marées – du cinéma comme ils l’entendent… un cinéma fait du regard tout à la fois curieux, émerveillé, interrogatif et inquiet qu’ils posent chaque jour sur le monde.

27 février 2010
Musée des Beaux-Arts de Calais
La radicalisation du Monde – Philippe Bazin
Suite à l’exposition du musée de l’Abbaye Sainte-Croix des Sables d’Olonne du 11 juillet au 4 octobre 2009 consacrée à l’œuvre de l’artiste Philippe Bazin, le musée des beaux-arts de Calais organise la suite de La Radicalisation du monde.
Prolongeant la présentation vendéenne, le musée complète sa sélection en privilégiant les photographies et vidéos récentes réalisées par Philippe Bazin à Porto, en Pologne, en Albanie mais également à Douvres, à Calais et à Bilbao.
Près de 150 photographies et vidéos seront ainsi réunies dans les salles du musée et notamment la série complète des Adolescents de Calais, réalisée en 1993-1995 et qui sera l’occasion d’un grand rendez-vous.
25 février 2010
Galerie Agathe Gaillard
Thierry Girard
11 février 2010
Arrêt sur l'image - Bordeaux
Bernard Plossu
" En photo, j’aime être prêt, rapide, et mon appareil est toujours réglé sur la vitesse pour ne pas " rater " le passage d’une image ! Or un jour, je me suis rendu compte que les hirondelles étaient encore plus rapides que moi ! Il y en avait souvent, dans le petit village andalou ou nous habitions, Françoise, Joaquim, Manuela et moi, et je me suis petit à petit pris au jeu de les photographier, de faire se rencontrer nos deux vitesses, la leur et la mienne… Fulgurant. Même je me demande si à certains moments, il n ‘ y en avait pas certaines qui m’avaient repéré, qui se prenaient au jeu ! Il y en a même une qui m’a  dit bonjour, je crois ! et une autre qui s’est presque arrêtée pour me regarder de face ! J’eus aussi la chance de pouvoir être très près d’un nid, d ‘ou les photos de tout ce manège de la maman hirondelle  nourrissant ses petits ! Voila, des images simples, presque un exposé sur ce qu’est la photographie, en quelque sorte, avec juste un objectif de 50mm., le plus proche du réel, sans effets, une manière d’attraper les hirondelles au vol en jouant avec elles, sans leur faire de mal bien sur ! en douceur, comme ça ….. des amies  que j’aime ! ”
BP.
9 février 2010
Musée Carnavalet - Paris
Karen Knorr – Fables
Au printemps 2010, Carnavalet se peuple d’une faune étrange ! Renard, tortue, lièvre et cigogne se mettent en scène sous l’objectif de Karen Knorr, créant au sein des fameuses period rooms du XVIIIème siècle, une animation lyrique à l’image des fables d’Ésope ou de La Fontaine.
Le musée rend ainsi hommage à Karen Knorr, photographe américano-britannique de renommée internationale, en présentant au fil des salles une quinzaine d’images. Certaines photographies seront replacées en situation, là où les prises de vue ont eu lieu entre 2003 et 2004, mais aussi dans la galerie de liaison, au premier étage du musée. Quelques images réalisées au musée Condé à Chantilly, au château de Chambord ainsi qu’au musée de la Chasse et de la Nature à Paris, viendront agrémenter la présentation.
Pour l’occasion, la maison Deyrolle prête certains spécimens comme un renard, un ragondin ou des oiseaux naturalisés qui apporteront une poésie bucolique aux salles du musée.
Dans l’oeuvre de Karen Knorr, les animaux évoluent dans l’espace de ces "sanctuaires culturels" que l’on veut habituellement protéger de la profanation des bêtes. Cette transgression ajoute une note de merveilleux, proche de l’univers de Lewis Carroll et d’Angela Carter. L’étrangeté de la série des Fables résulte aussi de la subtilité des compositions, photo-montages où l’artiste mêle la photographie analogique et l’image
digitale. L’insolite ambiguïté ainsi produite dans un décor artificiel de musée, intensifie le trouble chez l’observateur.
L’aimable bestiaire de Karen Knorr invite le visiteur à redécouvrir les décors historiques raffinés d’un des plus beaux hôtels du Marais.
Commissaire de l’exposition
Françoise Reynaud,
conservatrice chargée des collections photographiques du musée Carnavalet
Exposition réalisée avec l’aimable collaboration de la galerie Les filles du calvaire et de la maison Deyrolle
3 février 2010
Les Volcans - Clermond-Ferrand
Suite parlée