Extra-Sensory
Mode et nouvelles technologies
Extra-Sensory
Mode et nouvelles technologies
Interface between aesthetics and technology, the garment is the subject of numerous experiments and will now adapt to the new era of webcams, microphones, headphones, monitors and other software … There is talk now of increased garment " , like a prosthesis or a smart extension of the body including the extension remains attentive to every movement, and obeying the finger to the eye.
Le livre des 25 printemps
Collectif

Dans un jardin
Collectif
Philippe Piguet, Marc Donnadieu

Fabriques de l’Europe
Collectif
Christian Caujolle

Afriphoto V
Collectif
Abel Sumo Gayvolor, Isaac Hudson Bruce Vanderpuije, Ganiyu Owadi, Gerald L. Annan-Forson

Pochette surprise
Collectif

Regards croisés
Collectif, Tendance floue
Habitants de Villetaneuse, Mat Jacob, Meyer, Patrick Tourneboeuf, Pascal Marion

De l’Europe
Collectif

Extra-Sensory
Collectif
Christophe Luxereau, Natacha Roussel, Diana Eng, Emily Albinski, Teresa Almeida, Emmanuel Cuisinier, Julie Miguiditchian, Nathalie Semon

80+80, photo_graphisme
Collectif, Christian Caujolle

Aman Iman, revue photo_graphisme 02
Collectif

La région humaine – Des corps dans la ville
Collectif, Michel Poivert
Gilles Verneret

Patrimoine (jardins) & création contemporaine
Collectif

Intérieur jour
Collectif, Julie Pellegrin

L’Afrique en regard
Collectif

Meta Visual
Collectif, Tomoe Moriyama

Tentures 2001
Collectif

Un mince vernis de réalité
Collectif
Michel Poivert, Céline Clanet, François Deladerrière, Géraldine Lay, Geoffroy Mathieu

Histoire(s) parallèle(s)
Collectif

Aman Iman, revue photo-graphique 01
Collectif

Actifs/Réactifs2
Collectif
Michel Aubry, Pierre Besson, Jean Sylvain Bieth, Philippe Cognée, Nicolas Floch, Christophe Vigouroux, Jean-Michel Sanejouand, Ipso Facto, Guillaume Paris, Jean-François Courtilat, Michel Guillet, Jean-François Guillon, Davis Rolland, Alix Delmas

Au quartier coréen
Collectif, Patricia Solini

Visa I – Littoral /L’hiver
Collectif
Dominique Legrain

L (brut d’images)
Collectif

Paysages pluriels
Collectif

Et pourtant
Collectif, Marielle Lemarchand

Autour du monde
Collectif

La Bretagne
Collectif
Jean-Claude Lemagny

Du côté d’Oradour
Collectif, Michel Frizot
Arno Gisinger, Gilles Plazy, Philippe Bertin, Fabrice Picard

Cadr’ages
Collectif
Yvon Le Men

D’Est en Ouest
Collectif
Eric Perrot, Stéphane Duroy, Graciela Iturbide, Yvon Lambert, Paulo Nozolino, Klavdij Sluban, Anthony Suau

Europe rurale 1994
Collectif

Résonance
Collectif

Après des études d’art classique en peinture (école des Beaux-Arts) et en architecture (génie civil), Christophe Luxereau se consacre à la photographie à partir de 1986. Il travaille l’image numérique dès 1995 pour développer le thème de la relation à la machine électronique. Cette relation établit de nouveaux codes, d’autres comportements
et de nouvelles icônes. Le photographe est un cinéphile et lecteur famillier de la cyberculture et des maîtres de science-fiction, base de son univers visuel. Le monde, la mode, qu’il côtoie de façon professionnelle lui inspire des hybridations entre design et haute coutûre. Son travail porte ainsi une réflexion sur l’idée de la beauté artificielle
véhiculée par la publicité cosmétique et de luxe. La pratique du graphisme 2D et 3D accentue la réalité virtuelle de ses créations. Toujours en prospection, chaque série est une étape, une expérience technique et esthétique.
Chacune de ses expositions donne lieu à une mise en espace des oeuvres pour immerger le spectateur au coeur de ses visions. Ainsi il créé mobilier, ambiances sonores et lumineuses sous forme de showroom pour compagnie robotique ou chapelle dédiée au culte de ses madones.
Si la photographie est le terreau de ses créations, il investit la vidéo et les techniques traditionnelles pour élargir son champs des possibles. En 2006, il reçoit un prix du design au Japon pour ses recherches prospectives sur la robotique zoomorphique.
L’oeuvre de Christophe Luxereau se regarde comme un jardin dont chaque création fait partie d’un ensemble devenant au fûr et à mesure du temps un paysage à part entière, constitué de visions posthumaines.
et de nouvelles icônes. Le photographe est un cinéphile et lecteur famillier de la cyberculture et des maîtres de science-fiction, base de son univers visuel. Le monde, la mode, qu’il côtoie de façon professionnelle lui inspire des hybridations entre design et haute coutûre. Son travail porte ainsi une réflexion sur l’idée de la beauté artificielle
véhiculée par la publicité cosmétique et de luxe. La pratique du graphisme 2D et 3D accentue la réalité virtuelle de ses créations. Toujours en prospection, chaque série est une étape, une expérience technique et esthétique.
Chacune de ses expositions donne lieu à une mise en espace des oeuvres pour immerger le spectateur au coeur de ses visions. Ainsi il créé mobilier, ambiances sonores et lumineuses sous forme de showroom pour compagnie robotique ou chapelle dédiée au culte de ses madones.
Si la photographie est le terreau de ses créations, il investit la vidéo et les techniques traditionnelles pour élargir son champs des possibles. En 2006, il reçoit un prix du design au Japon pour ses recherches prospectives sur la robotique zoomorphique.
L’oeuvre de Christophe Luxereau se regarde comme un jardin dont chaque création fait partie d’un ensemble devenant au fûr et à mesure du temps un paysage à part entière, constitué de visions posthumaines.
